La force des éléments

Irmgard Böhmer Saal expose à la galerie Venezia à Pirmasens.

Article De Astrid Dornbach (traduit de l’allemand)

Les oscillations fines entre personnes, mais également de la nature provoquent Irmgard Böhmer-Saal qui les place au centre de ses images. Un grand rôle joue la force des éléments feux, eau, terre et air dans ses images partiellement abstraites. Une exposition avec les travaux de l’artiste de spire a été présentée dans la galerie « Venezia" de Pirmasens.

Le monde de Böhmer-Saal est poétique et cependant une tangible : Des soleils tournant et brillant ouvrent le couches de la terre et la lumière tombe sur des surfaces foncées. Sur quelques images on pourrait reconnaître presque uns penchant à la mystique. Le départ et la passion symbolisent l'image "le soleil dans Mars" ; comme on l’attribue au signe du zodiaque du bélier. "Le soleil dans le Mars" ne peut pas être arrêté, il se tourne comme une balle de feu brillante, il s'allume rouge comme la lave liquide. De loin l’image apparaît, comme quelques autres aussi, comme Mandala qui aspire la vue vers le milieu.

Plus terre à terre se présente l'image "Verbindung". Des tons bruns et des couches de terre ou le bois structuré déterminent l'arrière-plan. Derrière les structures en bois ou les couches de terre se trouve un visage masculin et féminin. Les moitiés supérieures de visage sont couvertes, et que le nez, la bouche et le menton sont visibles. Les yeux ne sont jamais visibles sur les figures de Böhmer-Saal. D’après sa description, basiquement, la vue doit être portée sur l’intérieur. Les figures eux-mêmes ou ce qu'on voit d'eux, ont un rayonnement extraordinairement sensuel et esthétiquement, presque comme des dieux et des déesses. Autres aspect partiel et mystique de cette image : À part les deux vrai hommes, il y en a deux grandis en bois ou en pierre où les profils se regardent. Les images de Böhmer-Saal chargent intentionnellement le spectateur de mystères. On doit réfléchir à ce qui n'est pas absolument visible pour l'oeil humain et qui s'ouvre après la deuxième ou troisième contemplation seulement. Malgré des détails l'un dans l'autre étroitement liés et l'un dans l'autre des couleurs débordantes les images de cette originaire du Palatinat n'apparaissent jamais confuse, mais rayonnent un repos et une force. Dans « Metamorphose" ; pousse des branches de lierre pour se confondre sur la droite de l’image dans un doux couloir d’arcade. Dans le tableau « Zur Mitte", une boule jaune dorée de soleil plane avec légèreté dans un spectre de couleurs brillant.

De même dans ses motifs de différents niveaux et couches mélangées ensemble, les couleurs elles-mêmes forment également des couches différentes : une fois tendrement et chargé dans une dilution forte, de sorte que la peinture à huile apparaît presque comme une aquarelle puis chargé avec la spatule sur plusieurs couches. Les dieux et figures de l'antiquité comme "Iphigenie" ; influencent la (de formation initiale) pédagogue, dans les reliefs et les sculptures de Terracotta. Aussi dans la plupart des reliefs, les figures semblent dormir, les yeux restent fermés.

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