Histoire et fondements |
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L'animalisme peut être compris soit comme l'élargissement des valeurs humanistes à toutes les autres espèces animales capables de ressentir de la souffrance, soit comme une intégration de l'humanisme dans une doctrine morale plus globale, contestant la centralisation de la morale sur l'être humain adulte (ce qui induit que les enfants, nourrissons, sont considérés de facto respectables uniquement parce que en croissance, hypothétiquement adultes responsables de leurs actes, et non en tant que tel).[réf. nécessaire] Même si le terme est nouveau, l'optique que défend l'animalisme est en réalité ancienne, préhistorique (période d'où est issue le jaïnisme), et redécouverte aujourd'hui du fait de la déconstruction effective de la civilisation occidentale post-humaniste (ou post-chrétienne) confrontée à son histoire et à d'autres civilisations, cultures, religions, nées pourtant au sein de l'humanité.[réf. nécessaire]* |
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L'animalisme peut être compris soit comme l'élargissement des valeurs humanistes à toutes les autres espèces animales capables de ressentir de la souffrance, soit comme une intégration de l'humanisme dans une doctrine morale plus globale, contestant la centralisation de la morale sur l'être humain adulte (ce qui induit que les enfants, nourrissons, sont considérés de facto respectables uniquement parce que en croissance, hypothétiquement adultes responsables de leurs actes, et non en tant que tel).[réf. nécessaire]Même si le terme est nouveau, l'optique que défend l'animalisme est en réalité ancienne, préhistorique (période d'où est issue le jaïnisme), et redécouverte aujourd'hui du fait de la déconstruction effective de la civilisation occidentale post-humaniste (ou post-chrétienne) confrontée à son histoire et à d'autres civilisations, cultures, religions, nées pourtant au sein de l'humanité.[réf. nécessaire] |
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L'animalisme peut être compris soit comme l'élargissement des valeurs humanistes à toutes les autres espèces animales capables de ressentir de la souffrance, soit comme une intégration de l'humanisme dans une doctrine morale plus globale, contestant la centralisation de la morale sur l'être humain adulte (ce qui induit que les enfants, nourrissons, sont considérés de facto respectables uniquement parce que en croissance, hypothétiquement adultes responsables de leurs actes, et non en tant que tel).[réf. nécessaire] Même si le terme est nouveau, l'optique que défend l'animalisme est en réalité ancienne, préhistorique (période d'où est issue le jaïnisme), et redécouverte aujourd'hui du fait de la déconstruction effective de la civilisation occidentale post-humaniste (ou post-chrétienne) confrontée à son histoire et à d'autres civilisations, cultures, religions, nées pourtant au sein de l'humanité.[réf. nécessaire] |